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POÈME 258




MADRIGAL

Les morts se réveillent de leur sommeil,
Pour voir ta beauté clairement merveille,
Ici, j’entends les bravos des personnes,
Te contemplèrent de ta beauté sonne,

Dans nos oreilles touchées par ta voix,
De ton naturel modelé par la soie,
Je meurs mais j’ignorais jusqu’à ma naissance,
Je renais du nez de la vie et croyance,

Madrigal, nul grigri ne changera mes yeux,
Sur toi, te regarder remplie mes creux,
Ce vide dans mon cœur cibler la souffrance,
Je suis là, attend la sérendipitité annonce.

Yoockhna Moon (COMORES)


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